"de l'eau a coulé sous les ponts"
oui, c'est cela que j'ai pensé en retombant sur mes photos de Grèce hier soir.
Le temps m'a traversée, mes joues portent encore le sillon des larmes de joie et de tristesse qui ont coulé. Il reste encore des sels minéraux.
Cette période a été belle: vivante mais éprouvante, enrichissante mais difficile. L'espoir, et l'attente, les rêves, et le réveil, la joie et la peine. De merveilleux poètes ont dit bien mieux que moi à quel point les oppositions des sentiments sont factices et superficielles; qui aime la joie doit aussi aimer la tristesse puisqu'à elles deux elles font un tout, l'une n'est que partie de l'autre, there are two sides to a coin.
La période m'a traversée et m'a changée.
Il m'est curieux de penser qu'une série de moments qui ont semblé tellement déconnectés et décousus les uns des autres et tous différents pussent appartenir à une même période; et que le temps en dépit de toutes apparences nébuleuses fût linéaire et passât dans un sens comme une rivière qui coule paisiblement malgré des turbulences passagères, telle est pourtant l'impression que j'ai eue hier soir.
Alors je voudrais juste dire aujourd'hui: merci pour cette période si intensément belle, et aussi, merci qu'elle soit passée.
Il ne nous revient pas de tout questionner; il ne nous revient pas de tout pouvoir changer.
Mais c'est notre devoir de vivre, sentir; ressentir les moments; le temps, dans son intégralité, pas de pick and chose; vivre, aimer, avec intensité et passion, embrasser la vie sur les deux joues (l'une pour la joie, l'autre pour la tristesse!). Si toutes les larmes sont salées, certaines sont plus sucrées que d'autres.
Et accepter, avec patience, calme et reconnaissance, que parfois, ponctuellement, nous puissions ressentir autre chose que de l'acceptance, du calme et de la patience...
et c'est bien comme ça.
la fin et le début
:o)
oui, c'est cela que j'ai pensé en retombant sur mes photos de Grèce hier soir.
Le temps m'a traversée, mes joues portent encore le sillon des larmes de joie et de tristesse qui ont coulé. Il reste encore des sels minéraux.
Cette période a été belle: vivante mais éprouvante, enrichissante mais difficile. L'espoir, et l'attente, les rêves, et le réveil, la joie et la peine. De merveilleux poètes ont dit bien mieux que moi à quel point les oppositions des sentiments sont factices et superficielles; qui aime la joie doit aussi aimer la tristesse puisqu'à elles deux elles font un tout, l'une n'est que partie de l'autre, there are two sides to a coin.
La période m'a traversée et m'a changée.
Il m'est curieux de penser qu'une série de moments qui ont semblé tellement déconnectés et décousus les uns des autres et tous différents pussent appartenir à une même période; et que le temps en dépit de toutes apparences nébuleuses fût linéaire et passât dans un sens comme une rivière qui coule paisiblement malgré des turbulences passagères, telle est pourtant l'impression que j'ai eue hier soir.
Alors je voudrais juste dire aujourd'hui: merci pour cette période si intensément belle, et aussi, merci qu'elle soit passée.
Il ne nous revient pas de tout questionner; il ne nous revient pas de tout pouvoir changer.
Mais c'est notre devoir de vivre, sentir; ressentir les moments; le temps, dans son intégralité, pas de pick and chose; vivre, aimer, avec intensité et passion, embrasser la vie sur les deux joues (l'une pour la joie, l'autre pour la tristesse!). Si toutes les larmes sont salées, certaines sont plus sucrées que d'autres.
Et accepter, avec patience, calme et reconnaissance, que parfois, ponctuellement, nous puissions ressentir autre chose que de l'acceptance, du calme et de la patience...
et c'est bien comme ça.
la fin et le début
:o)
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