C'est le petit enfant avec ses petites roues stabilisatrices du vélo derrière. Celles qui lui permettent de monter sur son vélo sans avoir peur, parce qu'il n'a pas besoin d'équilibre.
Puis le temps aidant, il s'habitue à son vélo et à son équilibre.
Son papa lui dé-serre un peu les petites roues, qui finissent par le gêner plus qu'autre chose.
Et puis un jour son père lui dit "voilà maintenant je t'ai enlevé tes petites roues.Tu es grand et tu sais faire du vélo" - le petit enfant se sent étourdi, un peu désemparé. Il ne sait pas s'il veut rire ou s'il veut pleurer.
Avant d’accélérer autant qu'il peut et savourer la liberté et la maniabilité d'un vélo sans petites roues.
Puis le temps aidant, il s'habitue à son vélo et à son équilibre.
Son papa lui dé-serre un peu les petites roues, qui finissent par le gêner plus qu'autre chose.
Et puis un jour son père lui dit "voilà maintenant je t'ai enlevé tes petites roues.Tu es grand et tu sais faire du vélo" - le petit enfant se sent étourdi, un peu désemparé. Il ne sait pas s'il veut rire ou s'il veut pleurer.
Avant d’accélérer autant qu'il peut et savourer la liberté et la maniabilité d'un vélo sans petites roues.
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