Ce weekend, je suis retournée aux prémices et je n'en reviens pas, ou plus précisément, je ne veux plus en repartir. Je ne veux plus me départir de ces idées qui fusent si vite et dont le sillage de lumière m'éclaire vers la prochaine question, dessinant un tableau imprévisible et vibrant. Je veux, tous jours !, ressentir cette chaleur unique, solaire réelle et éthérique, je veux encore et toujours être nue parmi les miens car masques et faux semblants sont inutiles et encombrants. Je me sens parmi eux comme un poisson dans l'eau. Concentrée et diluée, dans le moment, heureuse : vivante !
A bientôt hein, promis ? Parce que vous me manquez déjà...
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