C'est l'automne. Il pleut, il pleut et entre deux gouttes il pleut encore. Un segment de temps c'est une infinité de moments entre deux points fixes et par cette saison ces jours-ci une journee c'est une infinité de gouttes entre le lever et le coucher du soleil et parfois l'inverse. Je bois mon café dans mon lit et je souris. D'une part parce que pour plein de raisons c'est un luxe énorme de boire son cafe au lit surtout que ce matin ma tasse preferee avec un gros chat fou était propre et prête. Outre le luxe de pouvoir le raconter j'entends. D'autre part parce que au-dessus des nuages il y a toujours du soleil, ca n'en finit pas de me faire rêver. Ces nuages parfois pénibles de dessous, ceux-là même constituent de dessus le plus joli des matelas douillets aux yeux... N'en va-t-il pas ainsi pour beaucoup de choses ?
C'est vraiment l'automne. L'orange de la citrouille, le marron des arbres et les chataignes par terre, le violet aussi mais je ne sais pas d'où il vient. Mon café est trop sucré je l'ai mal touillé. Et maintenant je dois me préparer. Il a cessé de pleuvoir et je voudrais profiter de ces pointillés de sec mais je vais prendre mon parapluie quand même. On n'est pas en sucre mais je frise trop sinon.
C'est vraiment l'automne. L'orange de la citrouille, le marron des arbres et les chataignes par terre, le violet aussi mais je ne sais pas d'où il vient. Mon café est trop sucré je l'ai mal touillé. Et maintenant je dois me préparer. Il a cessé de pleuvoir et je voudrais profiter de ces pointillés de sec mais je vais prendre mon parapluie quand même. On n'est pas en sucre mais je frise trop sinon.
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