Quand je ferme les yeux
Pour ne plus voir un peu
C'est la que je vois mieux
Impossible de me cacher
Je te vois qui me regardes
Et je sais que tu me vois aussi
Exactement comme je suis
Un regard qui passe toutes les murailles
Tous les mirages toutes les failles
Les faux refuges les subterfuges
Oh ! les vains habits
Oh ! les vains habits
Un regard jusqu'a la nudité
Un regard aveugle a ma timidité
Car ces yeux là
Ne clignent pas
Comment veux tu que je me cache
C'est bon d'accord je me rends tu gagnes
Regarde et vois donc
Mais moi aussi je te regarde
Et enfin enfin je souris
Tu te rappelles on s'était dit
Inconditionnel
On avait raison on n'a pas dit
Infaillible
La vérité depend tellement de ce qu'on choisit d'en faire
Comme les petites flammes qui dansent si joliment
Toutes nues d'avoir tout brûlé
Vulnérables pourtant aux courants d'air
Mais si je souris maintenant aussi
C'est qu'elles dansent
Encore et toujours
Librement
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