Dimanche matin en plein cœur de Paris, début novembre
la rue est tellement calme qu'on entend les oiseaux
le jour n'a pas fini de se lever et moi je n'ai pas fini de me réveiller
la rue appartient encore à l'imaginaire
la rue est tellement calme qu'on entend les oiseaux
le jour n'a pas fini de se lever et moi je n'ai pas fini de me réveiller
la rue appartient encore à l'imaginaire
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